Au mois de novembre 2024, Inoxtag a révélé avoir été victime d’un cambriolage. Récemment, des rumeurs ont circulé au sujet de l’implication de Landy. Après avoir été interpellé puis relâché, le rappeur a pris la parole, dénonçant ce qu’il considère comme une atteinte à la présomption d’innocence.
Le 6 novembre 2024, le domicile d’Inoxtag, situé à Poissy, a été cambriolé alors qu’il n’y séjournait pas, l’ayant loué à un ami. Sur son compte X, l’influenceur a expliqué que les intrus ont forcé une fenêtre avec un pied-de-biche. Après inspection, il a précisé qu’ils n’avaient rien volé de significatif et qu’il ignorait ce qu’ils recherchaient précisément.
Cependant, selon Le Parisien et RTL, des cartes Pokémon ainsi que du matériel informatique ont bien été dérobés. BFMTV évoque un préjudice estimé à près de 10 000 euros, faisant de cet événement le deuxième cambriolage subi par l’influenceur en six mois.
Dans le cadre de l’enquête, la brigade de répression du banditisme de Versailles a procédé à l’interpellation de deux suspects le 18 mars, parmi lesquels Landy. Le rappeur, connu pour ses collaborations avec des artistes tels que Gazo, Fianso ou encore Jul, est également bien connu des autorités pour des faits liés à la violence et au trafic de stupéfiants.
Après avoir été placé en garde à vue, Landy a été relâché. Face aux rumeurs et aux accusations relayées par certains médias, son avocat et lui ont tenu à réagir officiellement, dénonçant ce qu’ils estiment être une atteinte à ses droits.
Le 19 mars, Landy et son avocat, Me Aïley Alagapin-Graillot, ont publié un communiqué dans lequel ils condamnent « avec la plus grande fermeté » les accusations formulées à l’encontre du rappeur. Ils estiment que ces insinuations vont à l’encontre du principe fondamental de présomption d’innocence et qu’elles nuisent à son image.
Par ailleurs, le document met en lumière la vague de commentaires haineux et racistes à l’encontre du rappeur sur les réseaux sociaux et dans certaines sections de commentaires des articles de presse. Le communiqué insiste sur le fait que ces attaques « alimentent la stigmatisation et la haine raciale » et « portent atteinte à la dignité » de leur client.
Si Landy conteste toute implication dans cette affaire, l’enquête reste néanmoins en cours afin d’identifier formellement les responsables du cambriolage.